Liya Petrova

Liya Petrova est représentée par Solea en general management

"Un son magnifique, mûr et aux reflets d’argent, un phrasé d’une étendue majestueuse."

The Sunday Times

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Sonate de Debussy pour violon et piano

Alexandre Kantorow, piano

Rencontres Musicales d'Evian, juillet 2020

Beethoven- Orchestre Philharmonique de Radio France

dir. Xian Zhang

Extrait du 3e mouvement- concert de clôture de la Folle Journée de Nantes, février 2020

SESSION D'ENREGISTREMENT- MOZART K271A

Dir. Jean-Jaques Kantorow- Sinfonia Varsovia

3e mouvement du 7e concerto K 271a en ré majeur, septembre 2020

"Un son magnifique, mûr et aux reflets d’argent, un phrasé d’une étendue majestueuse."

The Sunday Times

Biographie

Liya Petrova est révélée sur la scène internationale lorsqu’elle remporte le Premier Prix au Con-cours international de violon Carl Nielsen au Danemark en 2016. Elle enregistre dans la foulée le concerto de Nielsen et le 1er concerto de Prokofiev avec l’Orchestre Symphonique d’Odense sous la direction de Kristiina Poska pour Orchid Classics. La presse internationale ne tarit pas d’éloges sur ce premier album : Le Sunday Times loue « un son magnifique, mûr et aux reflets d’argent, un phrasé d’une étendue majestueuse ». Pizzicato, en Allemagne parle aussi d’un « son argenté et pur » et insiste sur son « lyrisme magnifique » tandis que Gramophone décrit une « variété de timbres exceptionnelle » dans « un merveilleux disque ». Le Strad est impressionné par sa « vir-tuosité naturelle », Classical Music Magazine juge son Nielsen « extraordinaire et intensément lyrique » et compare son Prokofiev à la version référence de Vengerov et Rostropovitch. En France, Res Musica parle d’ « une sonorité pure, une ligne à la fois décidée et délicate, parfois plus colé-rique et provocante, toujours parfaitement maîtrisée par Liya Petrova »

Liya est l’invitée de nombreux orchestres tels que l’Orchestre de Paris, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, l’Orchestre Philharmonique de la Radio Néerlandaise, le Royal Philharmonic Or-chestra de Londres, l’Orchestre National de Lyon, l’Orchestre Philharmonique du Luxembourg, l’Orchestre Symphonique d’Anvers, le Brussels Philharmonic, l’Orchestre National de Bordeaux-Aquitaine, l’Orchestre National de Lille, l’Orchestre National des Pays de Loire, l’Orchestre Natio-nal d’Avignon Provence, l’Orchestre de Pau Pays de Béarn, l’Orchestre de Nouvelle Aquitaine, le Symfonieorkest Vlaanderen, la Philharmonie ZuidNederland, le Sinfonia Varsovia, l’Orchestre Symphonique d’Odense, le Bergischer Symphoniker, l’Orchestre National de Belgique, la Staats-kapelle de Weimar, la Norddeutsche Philharmonie de Rostock, l’Orchestre Philharmonique de Kansai à Osaka sous la baguette de chefs tels que Stanislas Kochanovsky, Elim Chan, Duncan Ward, Alexander Liebreich, Krzysztof Penderecki, Nikolaj Szeps-Znaider, Diego Fasolis, Jean-Jacques Kantorow, Jan Willem de Vriend, Yan Tortelier, Xian Zhang, Marzena Diakun, Kristiina Poska, Christopher Warren-Green, Fayçal Karoui, Jean-François Heisser, Ariane Matiakh, Jesús López Cobos ou Michel Tabachnik.

Liya Petrova est révélée sur la scène internationale lorsqu’elle remporte le Premier Prix au Con-cours international de violon Carl Nielsen au Danemark en 2016. Elle enregistre dans la foulée le concerto de Nielsen et le 1er concerto de Prokofiev avec l’Orchestre Symphonique d’Odense sous la direction de Kristiina Poska pour Orchid Classics. La presse internationale ne tarit pas d’éloges sur ce premier album : Le Sunday Times loue « un son magnifique, mûr et aux reflets d’argent, un phrasé d’une étendue majestueuse ». Pizzicato, en Allemagne parle aussi d’un « son argenté et pur » et insiste sur son « lyrisme magnifique » tandis que Gramophone décrit une « variété de timbres exceptionnelle » dans « un merveilleux disque ». Le Strad est impressionné par sa « vir-tuosité naturelle », Classical Music Magazine juge son Nielsen « extraordinaire et intensément lyrique » et compare son Prokofiev à la version référence de Vengerov et Rostropovitch. En France, Res Musica parle d’ « une sonorité pure, une ligne à la fois décidée et délicate, parfois plus colé-rique et provocante, toujours parfaitement maîtrisée par Liya Petrova »

Liya est l’invitée de nombreux orchestres tels que l’Orchestre de Paris, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, l’Orchestre Philharmonique de la Radio Néerlandaise, le Royal Philharmonic Or-chestra de Londres, l’Orchestre National de Lyon, l’Orchestre Philharmonique du Luxembourg, l’Orchestre Symphonique d’Anvers, le Brussels Philharmonic, l’Orchestre National de Bordeaux-Aquitaine, l’Orchestre National de Lille, l’Orchestre National des Pays de Loire, l’Orchestre Natio-nal d’Avignon Provence, l’Orchestre de Pau Pays de Béarn, l’Orchestre de Nouvelle Aquitaine, le Symfonieorkest Vlaanderen, la Philharmonie ZuidNederland, le Sinfonia Varsovia, l’Orchestre Symphonique d’Odense, le Bergischer Symphoniker, l’Orchestre National de Belgique, la Staats-kapelle de Weimar, la Norddeutsche Philharmonie de Rostock, l’Orchestre Philharmonique de Kansai à Osaka sous la baguette de chefs tels que Stanislas Kochanovsky, Elim Chan, Duncan Ward, Alexander Liebreich, Krzysztof Penderecki, Nikolaj Szeps-Znaider, Diego Fasolis, Jean-Jacques Kantorow, Jan Willem de Vriend, Yan Tortelier, Xian Zhang, Marzena Diakun, Kristiina Poska, Christopher Warren-Green, Fayçal Karoui, Jean-François Heisser, Ariane Matiakh, Jesús López Cobos ou Michel Tabachnik.

Liya enregistre depuis 2020 pour le label Mirare. Au printemps 2023, elle présentait Momentum 1, premier volet d’une double collaboration avec le Royal Philharmonic Orchestra de Londres sous la direction de Duncan Ward et présentant une magnifique version du concerto pour violon de Walton suivi de la sonate de Respighi avec le pianiste Adam Laloum. Cet album est précédé de deux enregistrements pour Mirare : un album de sonates de Beethoven, Barber et Britten avec le pianiste Boris Kusnezow puis un deuxième disque présentant le concerto de Beethoven et le 7e concerto Mozart, dirigés par Jean-Jacques Kantorow à la tête du Sinfonia Varsovia. Avant cela, Liya avait enregistré le concerto de Nielsen et le 1er concerto de Prokofiev avec l’Orchestre Sym-phonique d’Odense et Kristiina Poska pour Orchid Classics. Le chaleureux accueil de la critique est unanime pour tous ces enregistrements.

En musique de chambre, Liya joue régulièrement avec les pianistes Alexandre Kantorow, Beatrice Rana, Eric Le Sage ou Adam Laloum ou les violoncellistes Pablo Ferrandez, Aurélien Pascal et Bru-no Philippe. Elle a collaboré par ailleurs avec Martha Argerich, Emmanuel Pahud, Paul Meyer, Lise Berthaud, Daishin Kashimoto, Yuri Bashmet, Mischa Maisky, Ivry Gitlis, Renaud Capuçon, Augus-tin Dumay, James Ehnes, Nicholas Angelich, Frank Braley, Yuja Wang, Gérard Caussé, Antoine Tamestit, Gary Hoffman et Gautier Capuçon dans de nombreux projets de musique de chambre. Liya est invitée à se produire au sein de festivals tels que le Festival de Mecklenburg-Vorpommern, Rheingau Musik Festival, Ludwigsburger Schlossfestspiele, Festival de Saint-Denis, Festival de Radio France Montpellier, Festival de la Roque d’Anthéron, Festival de Menton, Fêtes Musicales en Touraine à la Grange de Meslay, Festival de Pâques d’Aix en Provence ou les Ren-contres Musicales d’Evian.

Au printemps 2020, alors que le monde est encore confiné, elle lance à Paris la Musikfest Pari-sienne à la Salle Cortot. Une première édition sans public rencontre un grand succès en ligne. Le festival a vu sa quatrième édition en mai 2023 et Liya y a réuni une magnifique équipe de musi-ciens parmi lesquels on retrouve Alexandre Kantorow, Victor Julien-Laferrière, Eric Le Sage, Adam Laloum ou Paul Meyer. En 2022, elle crée avec ses amis Alexandre Kantorow et Aurélien Pascal les Rencontres Musicales de Nîmes dont le trio assure la direction artistique.

Liya Petrova est née en Bulgarie dans une famille de musiciens et a bénéficié de l’enseignement d’Augustin Dumay à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, d’Antje Weithaas à la Hochschule für Musik Hans Eisler de Berlin et de Renaud Capuçon à la Haute Ecole de Musique de Lausanne.

Grâce au soutien d’un généreux mécène, Liya Petrova joue un magnifique « Rovelli » de Guarnerius del Gesu de 1742 .

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Discographie

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Sonate de Debussy pour violon et piano

Alexandre Kantorow, piano

Rencontres Musicales d'Evian, juillet 2020

Beethoven- Orchestre Philharmonique de Radio France

dir. Xian Zhang

Extrait du 3e mouvement- concert de clôture de la Folle Journée de Nantes, février 2020

SESSION D'ENREGISTREMENT- MOZART K271A

Dir. Jean-Jaques Kantorow- Sinfonia Varsovia

3e mouvement du 7e concerto K 271a en ré majeur, septembre 2020

Contact

Romain Blondel

rb@solea-management.com

T. + 33 1 48 44 74 70